27 septembre 2010
A Paul, je préfère Lucie...
Les sanglots longsDes violonsDe l'automneBlessent mon cœurD'une langueur monotone. Fallait il qu'il soit triste, ce cher Paul, et comme Arthur devait plomber son cœur pour qu'il ne puisse voir en l'automne que langueur et monotonie... C'est au contraire...